mercredi 23 décembre 2009

Les grands de ce monde montrent le chemin !

Quoi de mieux en cette période des fêtes que d'écouter de grands personnages pour nous guider dans nos agissements avec nos relations d'affaires et nos proches.

Bye Bye 2009

Le maire Desrosiers, l'ex-préfet Catelier et les acolytes de Fortissimus ne reviendront pas en 2010 avec l'événement interplanétaire magnymontois! Se sont-ils dit comme Alphonse Allais, journaliste, écrivain et humoriste normand? : «Je ne prendrai pas de calendrier cette année, car j'ai été très mécontent de celui de l'année dernière!»

Après le bogue de l'an 2000, la crise aviaire, la crise financière, la crise économique, nous risquons encore semble-t-il la pandémie de la grippe A. Pour contrer la H1N1 vous avez deux résolutions à prendre pour 2010: naviguer sur www.oieblanc.com et vous dire comme Voltaire: «J'ai décidé d'être heureux parce que c'est bon pour la santé.»

Alexis de Tocqueville, écrivain et historien français, disait: « Le plus grand soin d'un bon gouvernement devrait être d'habituer peu à peu les peuples à se passer de lui». Norbert Morin dans ses célèbres déclarations en chambre passera-t-il le message à Jean Charest?

Joyeuses fêtes à tous

Sacha Guitry disait: «Le premier janvier est le seul jour de l'année où les femmes oublient notre passé grâce à notre présent», alors n'oubliez pas votre cadeau à votre tendre et chère, que vous vous appeliez Tiger ou non!

Comme il ne faut jamais s'oublier soi-même comme le prétendait Frédéric Dard, le célèbre auteur des romans policiers San Antonio, ma devise pour 2010 sera: «L'an dernier j'étais encore un peu prétentieux, cette année je suis parfait». Plusieurs d'entre vous se diront Patelli a encore pété une coche, mais comme dit l'humoriste et acteur français Popeck: «Mieux vaut 50% des gens qui ne vous aiment pas, plutôt que 100% qui ne vous connaissent pas.»

Ne vous inquiétez pas trop pour moi, je reste les deux pieds sur terre car je me souviens du message de Jean Gabin, le monstre sacré du cinéma français. «Je sais, je sais, je sais, je sais qu'on ne sait jamais».

Bel avenir pour le Journal L'Oie Blanche

Notre journal et notre site web www.oieblanc.com continuent leur développement dans un monde médiatique en bouleversement et si nous gagnons en permanence du terrain sur notre principal concurrent, nous gardons à l'esprit que rien n'est jamais acquis et que la concurrence reste le moteur des gens actifs comme le sont nos membres annonceurs et propriétaires de ce média coopératif. Comme le prétend Nicolas Sarkozy: «C'est la vie la concurrence. Je vais même vous dire mieux, moi, j'ai la concurrence dans les veines!»

1 commentaire:

  1. Jude Des Chênes9 janvier 2010 à 08:32

    À quand une citation d'un politicien, d'un artiste ou d'un intellectuel québécois dans votre bouche ?

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